Saturday, October 26, 2013

Afghan asylum seekers still struggling, living in squats / Les demandeurs d'asile afghans continuent leur lutte, forcer de vivre dans des squats, Brussels, 25.10.2013







 Marwa Mahbub, an Afghan asylum seeker, with her son. Marwa, 26 year-old, mother of two children, flew Afghanistan 5 years ago after her life was threatened by the Talibans because of her community work with women.
 Her demand of asylum was denied three times. 

Marwa Mahbub, une demandeuse d'asile afghane, avec son fils. 
Marwa, âgé de 26 ans, mère de deux enfants, a fui l' Afghanistan il y a 5 ans après que sa vie ait été t menacée par les talibans en raison de son travail communautaire avec les femmes. 
Sa demande d'asile a été refusée trois fois.


(c) Anne Paq/Activestills.org, Brussels; 26.10.2013

For most of this Afghan group composed of hundreds of asylum seekers, this is the 6th place they have been forced to live in the last month. The place has no kitchen or heating. There are no mattresses so they sleep on some blankets on the floors. 

The group has been organizing demonstrations for the last months, demanding to be granted asylum and legal papers in Belgium. During the last demonstration, they faced repression from the Belgian police, and 162 were arrested. They were released the next day, because of the lack of space in the 'closed centers'. Their future is still uncertain. The place they are staying is only temporary. The government does not show any sign of proposing an acceptable solution.

----Français--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Pour la plupart de ce groupe afghan composé  de centaines de demandeurs d'asile, c'est le 6ème lieu où ils sont contraints de vivre lors de dernier mois. Le lieu où ils sont actuellement est une ancienne école désaffectée qui ne dispose pas de cuisine ou de chauffage. Il n'y a pas de matelas et ils doivent dormir sur des couvertures à même le sol. Ce ne sont pas des conditions décentes mais c'est au moins un toit.

Le groupe est épuisé après avoir organisé des manifestations lors des derniers mois pour réclamer le droit d'asile et des papiers légaux en Belgique, sans lesquels ils ne peuvent pas trouver de logement ou de travail. Au cours de la dernière manifestation, ils ont subi une répression violente de la part de la police belge, et 162 ont été arrêtés. Ils ont été libérés le lendemain, en raison du manque d'espace dans les «centres fermés». Leur avenir est incertain. L'endroit où ils sont logés n'est que temporaire et le gouvernement ne montre aucun signe de fléchissement de sa position.


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