Marwa Mahbub, an Afghan asylum
seeker, with her son. Marwa, 26 year-old, mother of two children,
flew Afghanistan 5 years ago after her life was threatened by the
Talibans because of her community work with women.
Her demand of asylum was denied
three times.
Marwa Mahbub, une demandeuse d'asile
afghane, avec son fils.
Marwa, âgé de 26 ans, mère de deux
enfants, a fui l' Afghanistan il y a 5 ans après que sa vie ait été
t menacée par les talibans en raison de son travail communautaire
avec les femmes.
Sa demande d'asile a été refusée
trois fois.
(c) Anne Paq/Activestills.org,
Brussels; 26.10.2013
For most of this Afghan group composed
of hundreds of asylum seekers, this is the 6th place they have been
forced to live in the last month. The place has no kitchen or
heating. There are no mattresses so they sleep on some blankets on
the floors.
The group has been organizing
demonstrations for the last months, demanding to be granted asylum
and legal papers in Belgium. During the last demonstration, they
faced repression from the Belgian police, and 162 were arrested. They
were released the next day, because of the lack of space in the
'closed centers'. Their future is still uncertain. The place they are
staying is only temporary. The government does not show any sign of
proposing an acceptable solution.
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Pour la plupart de ce groupe afghan
composé de centaines de demandeurs d'asile, c'est le 6ème
lieu où ils sont contraints de vivre lors de dernier mois. Le lieu
où ils sont actuellement est une ancienne école désaffectée
qui ne dispose pas de cuisine ou de chauffage. Il n'y a pas de
matelas et ils doivent dormir sur des couvertures à même le sol. Ce
ne sont pas des conditions décentes mais c'est au moins un toit.
Le groupe est épuisé après avoir
organisé des manifestations lors des derniers mois pour réclamer le
droit d'asile et des papiers légaux en Belgique, sans lesquels ils
ne peuvent pas trouver de logement ou de travail. Au cours de la
dernière manifestation, ils ont subi une répression violente de la
part de la police belge, et 162 ont été arrêtés. Ils ont été
libérés le lendemain, en raison du manque d'espace dans les
«centres fermés». Leur avenir est incertain. L'endroit où ils
sont logés n'est que temporaire et le gouvernement ne montre aucun
signe de fléchissement de sa position.
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