(c) Anne Paq/Activestills.org, Anata, 25.01.2012
Arabiya Shawamreh and her husband Salim stand in front of the ruins of their house called Beit Arabiya (“Arabiya’s House”) that the Israeli authorities demolished on Monday, January 23rd during the night for the fifth time are seen in the West Bank city of Anata, Wednesday, January 25, 2012. Beit Arabiya is a home belonging to Arabiya Shawamreh, her husband Salim and their seven children, a Palestinian family whose home has been demolished four times by the Israeli authorities and rebuilt each time by Israeli committee against house demolition (ICAHD) through Palestinian, Israeli and international peace activists, before being demolished again last night. It had been turned for years into a community center. The same night, 7 other homes were demolished in Anata, living more than 50 Palestinians homeless. More info in ICAHD.
In the next days, starting tomorrow, volunteers will gather to help the communities rebuilding the houses. To exist is to resist!
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Arabiya Shawamreh et son mari Salim se tiennent debout devant les ruines de leur maison appelée Beit Arabiya ("Maison d'Arabiya») que les autorités israéliennes ont démoli pour la cinquième fois le lundi, 23 Janvier pendant la nuit dans la ville d'Anata en Cisjordanie, mercredi,25 Janvier, 2012. Beit Arabiya est une maison appartenant à Arabiya Shawamreh, son mari, Salim et leurs sept enfants, une famille palestinienne dont la maison avait déjà été démolie quatre fois par les autorités israéliennes et reconstruite à chaque fois par le comité israélien contre la démolition de maisons (ICAHD) grâce à des militants palestiniens, israéliens et internationaux pour la paix, avant d'être démolie à nouveau la nuit dernière. Cette maison avait été transformée pendant des années en un centre communautaire. La même nuit, sept autres maisons ont été démolies à Anata, laissant plus de 50 Palestiniens sans abri. Plus d'infos sur le site d' ICAHD.
Dans les prochains jours, à compter de demain, des bénévoles vont se joindre aux résidents pour aider les communautés à reconstruire leurs maisons. Exister, c'est résister!
Bonjour Anne,
ReplyDeleteMerci pour votre magnifique travail sur le terrain des résistances palestiniennes!
Et vous avez absolument raison de rappeler le slogan "exister c'est résister" ; s'il s'applique en effet en premier lieu à la tragédie palestinienne, il ne saurait y en avoir non plus, un de plus essentiel que celui-ci, pour conduire dignement nos vies d'hommes dans ce monde fait uniquement d'abaissements moraux et de compromissions en tout genre!